Hommage à Claude Monet, février-juin 91 – Triptyque, 1991
huile sur toile, 194 x 483 cm
Collection particulière
Peindre, peindre. Toujours peindre. Encore peindre. Le mieux possible, le vide et le plein, le léger et le dense, le vivant et le souffle
Zao Wou Ki
Dossier pédagogique ici
Livret en famille là.
L'espace est silence (Henri Michaux).
Artiste au croisement de plusieurs mondes, Zao Wou-Ki quitte la Chine en 1948 pour venir à Paris au moment où l’« art vivant » commence à se partager entre les États-Unis et la France. Son œuvre traverse les débats esthétiques qui marquent le développement de l’art moderne et, s’il appartient à une scène parisienne qu'il apprécie, il perçoit très tôt la vitalité de la peinture américaine. Progressivement, il renoue aussi avec certains traits de la peinture chinoise dont il s’était écarté de façon volontaire.
Une déambumation dans l'espace, dans la peinture, une immersion...
François Michaud et Erik Verhagen, commissaires de l’exposition.
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